1. |
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"Voilà trois jours que nous faisons le tour de cette île,
Sans qu’aucun de nos signaux n’aient été interceptés.
Nous traversons des forêts d’érables sycomores dans lesquels batifolent des brachypelma smithi..."
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2. |
Frénésie de danses
04:57
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Je me tiens sous la 5è lune,
Quelqu’un m’appelle du fond des âges.
En jetant des pierres de runes,
M’apparaissent de bien curieux présages.
J’entame alors une première danse frénétique (x2)
J’ouvre une porte dans ce grand feu,
Et me voilà sur un dancefloor.
Y aurait-il un quelconque enjeu?
Triple axel dans le corridor.
J’entame une seconde danse frénétique (x2)
Face à moi, des formes sylphides,
Me parlent un langage sibyllin.
Et je repense aux danaïdes,
Serais-je l’une d’elles, hein?
J’entame alors une troisième danse frénétique (x2)
Mêlant l’étrange à l’atypique,
On m’observe, alors je m’applique,
Je n’y vois rien de maléfique,
Non, il n’y a rien de maléfique,
Dans ses danses frénétiques. (x4)
Paroles : Christine LESIEUR ©2021
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3. |
Circé vs Circé
05:14
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Laquelle des deux était-ce ?
Forcément l’une ou l’autre.
Laquelle des deux était-ce ?
Forcément l’une ou l’autre.
Est-ce que tu t’en souviens ?
Ces flammes qui dansaient.
Est-ce que tu t’en souviens ?
Ces diables qui hurlaient.
Deux Circé dont les charmes, rendaient les hommes fous.
Quel dommage pour celles qui gâchaient toujours tout.
L’une devint discrète, cultivant la caulerpe,
Et puis changeant de nom, on la nommait Euterpe.
Tandis que la seconde, se fit proclamer reine,
D’une contrée de gnomes, qui l’appelèrent Melpomène.
Deux furies pathétiques, noyées dans leurs courroux.
Quel dommage pour celles qui gâchaient toujours tout.
Deux Circé dont les charmes, rendaient les hommes fous.
Quel dommage pour celles qui gâchaient toujours tout.
Celle qui insultait et celle qui frappait,
Provoquant le chaos dans toute la cité.
Les oiseaux-chats pleurant, allaient se réfugier,
Chez un vieil orpailleur, qui reprisait les cœurs.
Deux Circé dont les charmes, rendaient les hommes fous.
Quel dommage pour celles qui gâchaient toujours tout.
Deux Circé dont les charmes, rendaient les hommes fous.
Deux Circé dont les charmes, rendaient les hommes fous.
Deux Circé dont les charmes, rendaient les hommes fous.
Oui vraiment quel dommage pour celles qui gâchaient
Toujours tout.
Lyrics by Christine Lesieur (La Signora)
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4. |
L'oiseau-chat
03:35
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Endormie sur le sofa
Alanguie dans de beaux draps
J’écoute l’oiseau-chat me murmurer tout bas
Entre les moustaches et les plumes ce petit refrain-là :
Comme tu es frivole, tu ne penses qu’à toi,
Comme tu es frivole.
Et moi dit l’oiseau-chat, et moi dit l’oiseau-chat,
Et moi, qui t’attends là.
Et moi dit l’oiseau-chat,
J’ai tant besoin de toi,
Reviendras-tu vers moi?
J’ai compris mon tendre minet,
Ne prends plus cet air courroucé.
Car pour quelques temps je reste à tes côtés,
Feignant de n’avoir nulle crainte de m’attacher.
Comme tu es frivole, tu ne penses qu’à toi,
Comme tu es frivole.
Et moi dit l’oiseau-chat, et moi dit l’oiseau-chat,
Et moi, qui t’attends là.
Et moi dit l’oiseau-chat,
J’ai tant besoin de toi,
Reviendras-tu vers moi?
Reviendras-tu?
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5. |
Kiss and cry
07:10
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Dense is the crowd
Which misleads us
So dense is the crowd
Which misleads us
Rough is the road
Which brings us together
So rough is the road
Which brings us together
Sweet is the word
You’re whispering to me
So sweet is the word
You’re whispering to me
Kiss and cry
And fly…
Lyrics by Christine Lesieur (La Signora)
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6. |
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7. |
Belooga Marseille, France
Belooga is Christine Lesieur, singer-songwriter, graduate of the Conservatoire National de Marseille in electroacoustic
music.
She makes herself compos, texts, arrangements, programming, mixing since 2001!
The style of Belooga: an electro both dark and light, with a particular attention to the choice and work of the sound material and the poetry of the words in French as in English.
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